Photo panoramique du bocage les Lucs sur Boulogne au levé du jour

Présentation du syndicat

Le Syndicat Grand lieu Estuaire (SGLE) est né le 1er juillet 2023 suite à la dissolution du Syndicat d’Aménagement hydraulique Sud Loire et l’intégration d’une partie de son périmètre à celui de l’ancien Syndicat du bassin versant de Grand Lieu.

Histoire du syndicat

1978

Création du Syndicat de rivière de la Logne et Boulogne

1980

Création du Syndicat de rivière de l'Ognon

1984

Création du Syndicat d’Aménagement Hydraulique (SAH)

Objectif : assurer travaux, gestion des milieux aquatiques et gestion hydraulique du Pays de Retz, aux côtés de l’Union des Marais.

2006

Création du Syndicat du Bassin Versant de Grand Lieu (SBGVL)

Créé pour remplacer le Syndicat de rivière de la Logne et de la Boulogne et le Syndicat de rivière de l’Ognon, tout en intégrant de nouvelles communes. Objectif : une gestion cohérente de la ressource en eau sur l’ensemble du Bassin Versant de Grand Lieu.

2023

Création du Syndicat Grand Lieu Estuaire (SGLE)

Le Syndicat Grand Lieu Estuaire (SGLE) a été créé en juillet 2023, pour suivre la goutte d’eau qui s’écoule depuis la Vendée, aux sources de la Logne, la Boulogne, l’Ognon et l’Issoire, pour passer par le Lac de Grand Lieu et venir se jeter dans la Loire via l’Acheneau, lui-même alimenté par le Tenu.

Pour une gestion cohérente des milieux aquatiques, de la quantité et de la qualité des eaux d’un même bassin versant.

Le syndicat en chiffres

1299

km²

1

région

2

départements

11

intercommunalités (EPCI)

63

communes

131000

habitants

La gestion de l'eau, une préoccupation ancienne

Objectif initial : pallier au manque d’entretien des berges par les propriétaires riverains, et remédier aux problèmes d’inondations.

Puis, des problématiques nouvelles qui ont amenées à moderniser la politique locale de l’eau

Objectifs actuels : une gestion intégrée des milieux aquatiques.

  • Les rivières ne sont plus uniquement considérées comme des supports d’écoulement de l’eau. Ce sont aussi des espaces de vie de la faune et de la flore, riche d’une biodiversité qu’il faut préserver, et protéger des usages humains qui peuvent la dégrader.
  • Est actée la nécessité de gérer les problématiques de l’eau à l’échelle du bassin versant. La qualité de l’eau des rivières et du lac de Grand Lieu ne s’améliorera qu’à condition de concilier les utilisateurs et de fédérer les actions sur l’ensemble du territoire.